Grâce au sculpteur Ioan Stan Patras et à son apprenti 800 tombes éclatent d'un même bleu profond avec chacune une épitaphe aux formules espiègles qui donnent une touche d'humour d'où le cimetière joyeux tire son nom.
Exemple : je m'appelle Ion j'aimais beaucoup mon tracteur mais aussi la tsuica (eau de vie) j'étais toujours fâché ,j'ai hérité çà de mon papa ,la mort m'a emporté jeune à 33 ans .
Tiré du journal les nouvelles de Roumanie de Henri Gillet .
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire